Tel un rat à fond de cale, tu te caches du monde des humains
Pour t'embarquer vers des terres inconnues, des rivages lointains
Sur ta frêle embarcation qui vacille à tous les vents
Tu espères des soleils sans nuages, des visages souriants
Comme un arbre sur une terre incendiée, dont les racines cherchent l'eau en vain
Tu t'accroches à la vie comme à ton dernier morceau de pain
Qu'importe la souffrance, même si l'avenir semble incertain
Tes larmes n'étancheront jamais ta soif d'un nouveau destin
Et quand les vagues te rappellent à leurs maudits rugissements
Et que le souffle du passé se fait plus violent
Cognant aux portes de ta mémoire avec la force de l'ouragan
Tu serres tes rêves contre toi, précieusement,
Priant de tes dernières forces que la mort ne t'attende pas au tournant
Passager clandestin,voyageur sans certitude du lendemain
Ton seul tort dans ce monde inique et violent
Est de juste vouloir rester vivant
Pour t'embarquer vers des terres inconnues, des rivages lointains
Sur ta frêle embarcation qui vacille à tous les vents
Tu espères des soleils sans nuages, des visages souriants
Comme un arbre sur une terre incendiée, dont les racines cherchent l'eau en vain
Tu t'accroches à la vie comme à ton dernier morceau de pain
Qu'importe la souffrance, même si l'avenir semble incertain
Tes larmes n'étancheront jamais ta soif d'un nouveau destin
Et quand les vagues te rappellent à leurs maudits rugissements
Et que le souffle du passé se fait plus violent
Cognant aux portes de ta mémoire avec la force de l'ouragan
Tu serres tes rêves contre toi, précieusement,
Priant de tes dernières forces que la mort ne t'attende pas au tournant
Passager clandestin,voyageur sans certitude du lendemain
Ton seul tort dans ce monde inique et violent
Est de juste vouloir rester vivant
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